La crise de l’aéronautique a fait l’effet d’une déflagration dans le ciel toulousain où Airbus, l’un des principaux employeurs de la ville, est également le moteur de sa croissance et de son attractivité. Touchées mais pas coulées, la métropole et l’Occitanie – qui accueille nombre de sous-traitants, préparent leur plan de reconquête.
La ville rose retient son souffle… Après quatre mois de négociations, les 3 500 suppressions de postes à Toulouse annoncées par Airbus au printemps dernier ne se traduiront pas par des licenciements secs. La signature, le 12 octobre dernier, de deux accords – un PSE avec des mesu
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