Si le H1N1, le SRAS ou Ebola avaient surtout frappé des pays asiatiques, cette fois, la pandémie de coronavirus n’a épargné aucun pays. Avec le confinement décrété le 17 mars, beaucoup d’entreprises hexagonales ont fermé leurs portes et placé leurs collaborateurs en télétravail voire en chômage partiel. De quoi justifier un regain d’intérêt pour les politiques de prévention.
« Personne n’avait anticipé qu’un virus venu de Chine provoquerait une crise sanitaire qui déstabiliserait le monde entier, signale Vincent Giraudeaux, président de la Fédération des acteurs de la prévention. Depuis la grippe espagnole, les entreprises n’avaient pas été confronté
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