Depuis quelques années, un mouvement émerge en faveur d’entreprises qualifiées de « libérées ». Une offre de conseil favorise sa diffusion. Limité un temps à quelques petites entreprises, ce concept est aujourd’hui une source d’inspiration pour les plus grandes. Face à un tel engouement, il est devenu pressant de s’interroger sur les effets de cette nouveauté managériale.
L’étude d’un courant managérial émergent pose, on l’imagine, des problèmes de méthode ardus. Une recherche quantitative ne paraissait guère pertinente pour explorer de nouvelles pratiques sur lesquelles, en dehors d’écrits essentiellement prosélytes, existait, au début des années
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