En France, moins d’un tiers des 60-64 ans occupent un emploi. Et alors que le taux de chômage des actifs français baisse régulièrement depuis 2015, celui des personnes âgées de 55 à 64 ans ne cesse de progresser. De plus en plus fragiles économiquement, les seniors sont aussi de plus à plus nombreux à cumuler travail et retraite ou travail et préretraite. En 2018, ils étaient 8,7 % dans ce cas sur la tranche des 55-64 ans.
Les 9 et 10 octobre prochain, les expérimentations et les innovations solidaires tiendront Salon. Un événement qui a lieu à Angers, pour sa 4e édition, et qui regroupera acteurs de l’économie sociale et solidaire, porteurs de projets collaboratifs et autres makers. L’occasion d’échanger sur des problématiques d’insertion et de lutte contre les exclusions, de santé, de numérique ou de citoyenneté. Pour consulter le programme du Salon, rendez-vous à l’adresse : www.askoria.eu/seis.
Recruteurs, soyez percutants ! Car les chercheurs d’emploi n’ont pas de temps à vous accorder. Alors qu’Internet est devenu « the place to be » en matière de recrutement, plus d’un candidat virtuel sur deux (62 %) ne consacre que 45 secondes à la lecture d’une offre emploi. Un conseil : soignez l’intitulé du poste. Pour plus d’un candidat sur cinq, c’est le premier critère de choix, devant le salaire, les compétences et la localisation.
« Mais qui va payer les salaires des Français travaillant pour les grandes entreprises ? » se demande l’Association pour les garanties de salaires des entreprises en sauvegarde, en redressement ou en liquidation, avant de (re)mettre la main à la poche. En 2018, ce régime de garantie a en effet enregistré une hausse de 8,5 % des impayés salariaux dans les sociétés embauchant plus de 100 personnes. La bonne nouvelle étant que le nombre global de bénéficiaires de cette « assurance salaire » figure parmi les plus faibles depuis sa création en 1974.
