Arrivé au terme de son mandat à la RATP, Jean-Paul Bailly affiche un bilan flatteur. Depuis un accord de 1996, le dialogue social est décentralisé et les arrêts de travail intempestifs sont en chute libre. Les 35 heures sont en bonne voie.
Reste un sacré cactus : la réforme du régime de retraite maison.
Jean-Paul Bailly, champion de la longévité ! Les patrons de la RATP sont souvent assis sur un siège éjectable. Du moins depuis dix ans. Christian Blanc a claqué la porte en 1992, à la suite d'un désaccord avec le gouvernement sur la question d'un service minimal. Son successeur,
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