Le nouveau secrétaire général de Force Ouvrière (FO) veut que le message soit clair : « Je ne suis pas le clone de Jean-Claude Mailly, ni celui de Pascal Pavageau, ni même celui de Marc Blondel que j’ai bien connu », aime-t-il répéter. Yves Veyrier entend s’affranchir de l’ombre
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