De Taylor Nelson Sofres et d'Ipsos, on connaît surtout les sondages politiques. Mais le lot quotidien des deux instituts, ce sont des rafales d'enquêtes concoctées par des chargés d'études sous pression et réalisées par des vacataires payés à l'heure ou au questionnaire.
Guère surprenant si le turnover augmente et si des conflits apparaissent.
La conquête des mairies ne sera pas la seule bataille en direct sur le petit écran les 11 et 18 mars prochain. Sur les plateaux TV, les frères ennemis de la Sofres et d'Ipsos vont aussi se livrer à une course de vitesse pour fournir pronostics et commentaires aussi fiables que po
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant