La jeune FCE-CFDT, née de la fusion des fédérations cédétistes Chimie et Énergie, vit des heures difficiles. Une partie de ses troupes d'EDF-GDF revendiquent la création d'une structure autonome, tandis que bon nombre de ses militants de Michelin contestent son souhait de signer sur les 35 heures.
Décidément, les fusions ne sont pas un long fleuve tranquille. Et pas seulement dans les entreprises. Près de quatre ans après avoir été porté sur les fonts baptismaux, le biréacteur FCE-CFDT, né du regroupement des fédérations cédétistes de la Chimie et de l'Énergie, traverse un
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant