Ils ont débarqué pour peupler les usines et les chantiers désertés par les ouvriers roumains partis chercher du travail en Europe de l’Ouest. Arrivés avec l’espoir d’une vie meilleure, ils ont été exploités et sont repartis. Mais une minorité s’accroche en ouvrant des commerces.
Chaque matin de la semaine, un ballet haut en couleur se déroule sur le parking de Dragonul Rosu, l’immense centre commercial chinois de Dobroesti, banlieue nord-est de Bucarest. Des hommes poussent des chariots débordant de cartons estampillés « made in China ». D’autres chargen
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