Pour le directeur général de l’ESCP, le manager hexagonal, perçu par ses homologues étrangers, offre un visage moins autocratique que par le passé. Il reste néanmoins peu collectif, indéchiffrable dans ses attentes, et versatile dans ses décisions.
Votre dernier ouvrage porte un regard décalé, volontairement décentré sur les pratiques managériales en France. Pourquoi une telle étude ?Parce que les managers étrangers, qui évoluent au sein des entités françaises, en France ou dans des filiales à travers le monde, comparaient
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