Dialogue renoué avec la puissante CGT, statut des agents préservé, accord généreux sur les 35 heures… François Roussely s'y prend habilement pour rallier syndicats et salariés à sa réforme d'EDF. Car la mission qui lui a été confiée – ouvrir le monopole en maintenant la paix sociale – est éminemment périlleuse.
Au dixième étage de cet immeuble d'EDF dominant le périphérique parisien, l'ambiance, ce soir-là, est conviviale. Ce 23 novembre, direction et syndicats patientent devant des petits fours en attendant les résultats des élections de représentativité. Pour François Roussely, le pré
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