À l’heure de sa révision, la directive sur les travailleurs détachés cristallise les désaccords. À l’ouest, ses supporteurs, partisans de meilleures conditions de rémunération afin de réduire les écarts de coûts. À l’est ses opposants, soucieux de préserver leur attractivité.
À Bruxelles, tous les observateurs le reconnaissent : c’est l’un des dossiers les plus explosifs de la rentrée. Après vingt ans de polémique, la fameuse directive européenne sur le détachement de travailleurs revient sur la table des institutions européennes, qui doivent élaborer
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