Le nombre de médecins du travail est en diminution constante dans l’Hexagone. Conséquence, ces professionnels perdent de plus en plus le contact avec les salariés et les entreprises. Leur expertise, elle, s’arrache à prix d’or.
Départs en retraite non remplacés faute de candidats formés, méconnaissance de l’activité par les internes… La médecine du travail va mal. « Cela fait quinze ans que le constat est le même », s’insurge Dominique Huez, vice-président de l’association Santé et médecine du travail.
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