L’entreprise et le travail jouent un rôle encore mineur dans la littérature française. Mais de plus en plus d’auteurs s’en emparent. Sous leurs plumes, la vie au bureau ou à l’usine est rarement source d’épanouissement. Ni de réalisation de soi.
Évident ! Quand Stéphanie Dupays, haut fonctionnaire à l’Igas, a décidé d’écrire son premier roman, elle n’a pas hésité sur le sujet, « agacée » par l’air du temps. Autour d’elle, trop de conversations racontant le travail, trop de moments de l’existence décrits avec les mots de
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