L’association Aurore propose à des familles franciliennes en difficulté de s’installer dans le Cantal. À la clé, un emploi et un logement. Des délocalisations pas simples à gérer.
Un saut dans l’inconnu… C’est ce que se dit encore aujourd’hui Marème. Avec son petit garçon de 10 ans, elle a tourné le dos fin novembre à une vie précaire en bordure de Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine) pour une plongée dans le Cantal. En région parisienne, cette trentenaire p
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant