Fondateur du réseau Bleu Blanc Zèbre, l’écrivain se fait l’insatiable promoteur d’actions sociales de terrain. Et le critique zélé du centralisme de l’État.
Vous avez lancé un réseau intitulé Bleu Blanc Zèbre. Un nouveau parti politique ?Bleu Blanc Zèbre n’est ni un parti ni un syndicat. Ce n’est pas un think tank non plus, c’est un « do tank ». Plus précisément, un mouvement qui rassemble des gens qui passent à l’acte sur le terrain
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