Les pros de l’industrie ont écarquillé les yeux quand son nom est sorti du chapeau du bureau de l’UIMM. Comment un homme des services peut-il prendre, fin mars, le fauteuil de délégué général de la plus puissante fédération patronale, celle des métallos ? Et pourtant, c’est bien
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant