« Rendre plus objectif » notre regard sur le monde arabe et ses transformations. C’est l’objectif de la 1re Biennale des photographes du monde arabe contemporain, portée par l’IMA. Y exposent 29 artistes, dont le Franco-Libanais Maher Attar, qui pointe le difficile rapport à la mémoire du Qatar, né il y a 44 ans. Un pays qui a choisi de « reconstruire un passé avec du neuf ».
Le Temps suspendu,
Maher Attar. Jusqu’au 17 janvier à Photo12 Galerie, Paris IVe.