L’administration pénitentiaire peine à recruter et, surtout, à retenir ses gardiens. En cause, des conditions de travail très dégradées. Depuis la vague de suicides de 2009, elle s’est attaquée aux risques psychosociaux. Très timidement.
Impossible de les rater. Depuis octobre, des panneaux présentant un beau surveillant de prison à l’air épanoui ont fleuri dans les rues et les gares. Objectif de cette campagne de l’administration pénitentiaire ? Embaucher 1 500 personnes en 2016. À rebours de cette vision idylli
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