Le syndicat allemand a revu ses statuts pour s’ouvrir aux travailleurs indépendants. En France, les centrales avancent timidement sur le sujet.
Fin octobre, la puissante centrale syndicale allemande IG Metall a créé la surprise. Lors de son congrès, elle a bouleversé ses statuts pour s’ouvrir aux indépendants de tous poils : crowd workers, clickworkers et autres autoentrepreneurs qui exercent leur activité via des plates
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