La banque italienne prévoit 18 200 suppressions de postes en Europe, dont 6 900 en Italie. Avec ce nouveau plan d’économies plus important que prévu, annoncé le 11 novembre, UniCredit devrait compter 111 000 équivalents temps plein en 2018. L’intersyndicale dénonce un « appauvrissement » de l’entreprise, qui n’en est pas à son premier plan social.
Pour la première fois, le gouvernement d’Alexis Tsipras a été confronté, le 12 novembre, à une grève générale soutenue par son propre parti, Syriza. Administrations, transports et services publics ont été bloqués pour protester contre l’austérité, à l’appel des syndicats grecs.
Chez l’énergéticien allemand, les employés au département des énergies renouvelables sont séparés de leurs collègues travaillant sur les sources fossiles. Le 11 novembre, E.ON a annoncé avoir finalisé les transferts de personnels correspondant à la séparation de ses activités.
Le Bureau international du travail a décidé, le 12 novembre, d’envoyer une mission au Qatar pour « constater et reporter les nombreuses violations des normes internationales de travail ». Selon le BIT, la réforme du système dit de la « kafala », qui favorise le servage, ne met pas fin au travail forcé. Elle a pourtant été annoncée la veille par le pouvoir qatari.
