Timidité des politiques publiques, prudence des entreprises, permanence des stéréotypes… Les portes des entreprises ont toujours du mal à s’ouvrir aux jeunes diplômés des banlieues populaires. Malgré nombre d’initiatives. Le gâchis est énorme, il y a urgence.
La séquence « banlieues » survivra-t-elle, dans l’agenda politique, aux attentats du 13 novembre ? Ou en sortira-t-elle renforcée ? Il est trop tôt pour le dire. Mais, pour le dixième anniversaire des émeutes de novembre 2005, les annonces se sont multipliées, avec des descentes
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