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QUESTIONS À Annie CottetPrésidente de la Société française de coaching.

Le journal des RH | publié le : 03.10.2015 |

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QUESTIONS À Annie CottetPrésidente de la Société française de coaching.

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Vous avez été réélue à la tête de la SFCoach. Sur quelles propositions ?

Je souhaite que notre association garde son identité de pionnière. La SFCoach a été la première à poser les fondements de ce nouveau métier au début des années 2000. Aujourd’hui, il nous faut faire reconnaître le savoir en émergence sur nos pratiques auprès des psychanalystes, des psychologues ou des chercheurs.

Comment vous jugent-ils aujourd’hui ?

On est perçus par certains d’entre eux comme des « agents du contrôle social » au service du capitalisme. De manière générale, il y a beaucoup de suspicion. Pour rapprocher les points de vue, nous allons organiser des débats contradictoires et publics avec des universitaires ou des praticiens reconnus. Et ce de manière régulière.

En quoi la SFCoach se différencie-t-elle d’autres groupes de professionnels tels que ICE ou AEC ?

Nous sommes une association de membres accrédités, au nombre de 250 actuellement. Nos critères sont très exigeants. Nos adhérents sont partagés entre postulants (débutants), associés (expérimentés) et titulaires (confirmés). Nous voulons attirer des professionnels qui sachent rendre compte de leurs pratiques en lien avec leurs références théoriques. C’est pourquoi nous avons des groupes de réflexion qui travaillent sur le coaching dans les sciences humaines, le coaching d’organisation ou bien-être et performance.