L’association Sherpa a porté plainte contre le groupe de BTP pour « travail forcé et réduction en servitude » sur les chantiers qataris de la Coupe du monde de football. Une action explosive qui oblige Vinci à contre-attaquer et à justifier ses pratiques.
Des ouvriers népalais, pakistanais ou indiens qui travaillent d’arrache-pied sur des chantiers pharaoniques par 40 °C… Ces images imprègnent la rétine des téléspectateurs depuis maintenant plusieurs années. À coups de reportages les montrant suant pour le compte des majors du BTP
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant