Politiciens et investisseurs occidentaux voient en Cuba une île pleine de promesses.Malgré les réformes, la réalité socio-économique est pourtant très en deçà. Les possibilités de développement restent bien minces.
Si les États-Unis peuvent investir ici, ce sera très positif, notamment dans l’agriculture. Nous manquons de pièces pour nos machines agricoles qui datent de l’époque de l’URSS… quand ce ne sont pas des bœufs qui tirent des charrues. » Ingénieur en mécanique agricole, Sarita scru
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