Pierre Jolivet reprend la veine du polar social, sans concession. Et donne à Olivier Gourmet un de ses meilleurs rôles.
On n’attendait pas Pierre Jolivet dans un registre si sombre. Inutile de chercher dans Jamais de la vie un début de promesse qu’un jour l’horizon s’éclaircira. Son quinzième film, qui reprend la veine du polar social, ouverte avec les comédies Fred (1997) ou Ma petite entreprise
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant