Un an après la faillite du groupe de messagerie, ses ex-salariés sont à la peine. Malgré un suivi renforcé. Retards dans les formations, promesses non tenues, pénurie d’offres… L’angoisse commence à poindre.
C’était le plus gros plan social depuis la fermeture des usines sidérurgiques dans les années 1980. 2 506 licenciements. Auxquels il faut ajouter 126 représentants du personnel, qui ont attendu neuf mois que le ministère du Travail statue sur leur sort. Un an après l’annonce du p
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