Le patron de HEC Paris passe la main après vingt ans à la tête de la grande école. Il s’alarme du sous-investissement public et privé dans l’enseignement supérieur.
Quel regard portez-vous sur l’évolution de HEC ?Lorsque j’en ai pris la direction, j’ai cherché à rencontrer mes homologues américains. Je voulais me présenter et pouvoir évaluer la reconnaissance dont jouissait HEC dans le monde. À l’époque j’ai été surpris de notre manque de no
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