Dans son dernier film qui a tout du docu, Jaime Rosales dépeint une jeunesse espagnole « au point mort » et sans espoir.
C’est une promesse résonnant comme une boutade dans un quotidien essoré par la crise. Et une scène placée au début de la Belle Jeunesse, comme s’il fallait l’évacuer au plus vite. « Quand je serai riche, je t’achèterai une maison au bord de l’eau, avec piscine », susurre Carlos à
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