Les bureaux partagés s’installent dans le paysage tertiaire. Motivé par un objectif de réduction des coûts et facilité par le télétravail, ce desk sharing ne convainc pas tous les salariés.
Desk sharing ou free seating, deux notions anglo-saxonnes qui commencent à s’imposer en France. Ces bureaux partagés et places libres à disposition chamboulent la vie de nombre de salariés dans des secteurs comme le conseil, l’informatique, la banque ou l’assurance. Pionnier à la
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant