Le groupe a négocié un accord très haut de gamme pour restructurer en douceur son site mosellan.
L’arrêt, prévu fin 2015, du dernier vapocraqueur en activité sur la plate-forme chimique de Carling constitue une nouvelle désillusion pour l’industrie lorraine. Quand bien même Total promet d’investir 160 millions d’euros sur le site pour en faire son centre européen des résines
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