Ils sont plus de 1,3 million de salariés à en avoir signé. Mais les volontaires pour conclure une rupture conventionnelle ne le sont pas toujours et la grande majorité s’enfonce ensuite durablement dans le chômage.
Claquer la porte avec panache, c’est terminé. Aujourd’hui, on négocie. Comme Dimitri, dont le poste au service marketing a été supprimé en juillet. Son employeur, une PME de 700 salariés, cherche à faire des économies. Elle veut bien garder le jeune homme, mais à un emploi nettem
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