Proposés début 2012 par Nicolas Sarkozy, les « accords compétitivité-emploi » étaient passés à la trappe avec la campagne présidentielle, les partenaires sociaux arrêtant leur négociation pour en attendre les résultats. Issu de l’ANI du 11 janvier et transposé par la loi du 14 juin, l’accord de maintien de l’emploi repose sur le deal flexibilité des avantages contre sécurisation de l’emploi.
Pourquoi un tel accord ? Grâce à cet abaissement provisoire de ses coûts, l’entreprise pourra passer une période difficile en préservant la collectivité de travail et donc les compétences et les savoir-faire, si importants lorsque la reprise sera là. C’est ce but que doivent touj
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