Gestionnaire prudent de mesures initiées par les sociaux-démocrates, le gouvernement Merkel II se préoccupe des pénuries de main-d’œuvre à venir. Mais renâcle à agir sur l’essor de la précarité, revers de la réussite économique allemande.
À l’approche des élections législatives du 22 septembre, la bonne tenue de l’économie allemande et un recul du chômage à faire pâlir d’envie les voisins européens suffisent-ils à faire un bon bilan ? Beaucoup – et pas seulement les adversaires d’Angela Merkel – ne sont pas de cet
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