Financiarisé, le travail a fini par devenir invisible et abstrait, constate l’économiste, qui plaide pour un retour à la « vraie vie ».
La finance folle est souvent pointée comme la coupable de la crise. Vous dites, dans le Travail invisible, qu’elle n’est qu’un symptôme et que c’est l’esprit de rente qui a dégradé le travail.La financiarisation de l’économie a entretenu une promesse qui est celle de la modernité
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