Le conseil de prud’hommes de Compiègne planche les 26, 27 et 28 février à nouveau en départage sur les 700 plaintes déposées par des ex-Continental. Les anciens salariés de l’usine de Clairoix contestent la justification économique de leur licenciement et le respect des obligations de reclassement. Pas moins de cinq cabinets d’avocat sont engagés dans ce procès-fleuve.