La compagnie pourrait être durement condamnée pour emploi illicite de personnels navigants en France. Elle risque d’autres revers en Europe.
Le 31 janvier, Ryanair se retrouvera sur le banc des accusés au tribunal correctionnel d’Aix-en-Provence. Le transporteur low cost doit faire face à de multiples parties civiles, syndicats de pilotes (SNPL), d’hôtesses et de stewards, caisse de retraite, Urssaf ou encore Pôle emp
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant