Costa-Gavras dénonce le pouvoir sans limite de la finance, mais il ne tombe jamais dans la facilité.
On pouvait s’attendre que Costa-Gavras s’attaque à la dictature de la finance. Son engagement, purement politique depuis les années 70, a pris un tour plus économique et social en 2005 avec le Couperet, dérive meurtrière d’un cadre victime des délocalisations, puis Eden à l’Ouest
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