Débordés, les petits patrons ne s’attachent guère au strict respect de la législation sociale. Et multiplient les entorses au Code du travail. Au risque de se faire rattraper par les prud’hommes.
Philippe croise les doigts. Patron d’un magasin de bricolage en Eure-et-Loire, il attend le verdict du conseil de prud’hommes (CPH) de Chartres dans les prochains jours. En jeu, 100 000 euros de dommages et intérêts, que lui réclame une ancienne salariée pour licenciement sans ca
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