A l’annonce de la cession du site de Strasbourg par General Motors (GM), Roland Robert n’est pas tombé des nues. Un bis repetita après la mise en liquidation en 2008.En quatre ans, cet agent de fabrication, militant depuis trente ans, a vu les effectifs fondre de 1500 salariés à
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant