La dose est homéopathique : en cinq ans, 127 diplômés de lettres, sciences humaines et sociales ont été recrutés par une douzaine d’entreprises partenaires. Mais l’opération s’étend à d’autres universités.
Chaque année, parmi les 250 à 300 candidats qui se présentent à l’opération Phénix, 10 % sont recrutés. Comme les entreprises ne se fixent pas de quota d’embauche, nous pourrions en intégrer davantage avec plus de candidats », estime Bernard Deforge, coordinateur de l’opération.
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant