Afin de ramener le déficit public sous la barre des 3 % du PIB à partir de 2013, la coalition tchèque de centre droit a décidé d’augmenter la TVA d’un point (à 15 % et 21 %), de ralentir le rythme des revalorisations des retraites et d’opérer des coupes dans l’administration cent
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant