La négociation sur la modernisation du paritarisme se poursuit. Le champ d’application du futur texte a été élargi avec l’entrée de l’Unedic, en dépit de la présence d’un contrôleur d’État en son sein. Principal point d’achoppement entre les partenaires sociaux, le mode de prise de décision par le conseil d’administration des organismes paritaires. Alors que la CFDT, la CFTC et FO défendent le vote des administrateurs à main levée et par tête pour la nomination des président, vice-président et trésorier, la CGT défend l’introduction d’un vote par collège.