Fin septembre, les syndicats de salariés et de patrons signaient à l’unanimité un accord fixant les conditions de dérogation aux conventions collectives et les règles de représentativité. Berlusconi est court-circuité, Fiat rompt avec la Confindustria.
La crise de la dette publique et les scandales sexuels de Silvio Berlusconi sont tellement énormes que tout ce qui touche à la vie réelle des Italiens, l’Italie « d’en bas », diraient certains, est relégué au second plan. Pourtant, dans l’antichambre du pouvoir vient de se jouer
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