Avoir un toit est un des facteurs clés de l’insertion. Or, depuis le début de la crise économique, l’État coupe dans les budgets de l’aide au logement.
Tous les mois, Michel, 65 ans, célibataire, perçoit 900 euros de retraite et d’allocations. Mais il doit faire un choix : payer son loyer – 500 euros, réduits à 250 euros grâce aux allocations logement (APL) – ou les soins médicaux qu’exige sa situation d’invalide à 80 %. Les imp
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