Après Cendrillon, Éric Reinhardt poursuit son exploration des dérives du libéralisme.
Dans ce nouvel opus, dense, sexuel, qui continue de sonder la tragédie contemporaine, Éric Reinhardt ne s’embarrasse pas d’effets de surprise. Dès le début, on le sait, l’histoire finit mal. Tout le talent de l’auteur tient dans le récit, haletant, de cette course vers le désastr
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant