L’entreprise du secteur de la propreté (27 000 salariés) propose à ses troupes franciliennes des cours d’écoconduite.
GSF a testé la formation auprès de 40 chefs d’établissement et inspecteurs avant de l’étendre. Son objectif : réduire l’empreinte carbone de ses activités dans le cadre de sa politique de RSE.
D’un côté, le secteur de la formation a connu une baisse de son chiffre d’affaires. De l’autre, le taux de participation financière à la formation des entreprises est resté stable en 2009 par rapport à 2007 et 2008. Pour expliquer ce paradoxe, le Cereq a creusé les chiffres. De l’étude, il ressort que les dépenses externes et les versements aux Opca ont baissé, mais cette baisse a été compensée par le prélèvement de 13 % au nouveau Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels.
En partenariat avec le Leem (l’organisation patronale des laboratoires pharmaceutiques), l’université de Bordeaux-Segalen ouvre à la rentrée une filière « technologies pour la santé ». Celle-ci s’adresse aux étudiants en fin de première année d’études de santé. Elle cherche à répondre aux besoins des industries de santé en matière de R & D, de production, de commercialisation. Les étudiants seront soutenus financièrement via une bourse de 5 000 euros par an en licence.
La banque participe, aux côtés de Total et de Bolloré, à la toute nouvelle chaire Éthique et gouvernance lancée par l’université Paris-Dauphine. La structure dit vouloir aborder la question de l’éthique « du point de vue du management des risques et de la création de valeur ».
Deux établissements, Grenoble École de management et Arts et Métiers ParisTech, ont été désignés « écoles pilotes » dans le cadre du plan santé au travail II. La Caisse nationale d’assurance maladie les a tous deux audités. Grenoble École de management s’est par exemple distinguée par son Centre développement personnel et managérial, qui intervient tant dans le domaine de la recherche que dans le parcours pédagogique des étudiants grenoblois.
