La crise frappe très durement les Espagnols. Même les petits jobs se font rares. La famille et le travail au noir jouent, pour l’heure, le rôle d’amortisseur.
Silvia pousse la porte de l’association Colectivo La Calle, installée au cœur d’Orcasitas, un quartier ouvrier de Madrid quadrillé d’immeubles de brique pâle qui ont remplacé dans les années 70 d’anciens bidonvilles. Ce matin, elle a rendez-vous pour qu’on l’aide à actualiser son
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