Pour son premier film, Jean-François Ferrillon ne fait pas dans la facilité.
Elles sont partout, dans la rue, sur les murs ou les culs-de-bus, à la télévision ou dans les magazines. Pour vendre une voiture, de la lessive, des parfums, les publicitaires ont vite compris qu’il valait mieux mettre en scène des femmes, plutôt belles, parfois séduisantes, assu
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