Le gouvernement russe lance un plan colossal de privatisations, moins brutal que dans les années 90.
Pour combler son déficit budgétaire et dégager des fonds pour la modernisation des infrastructures, la Russie ambitionne de vendre, ces cinq prochaines années, quelque 32 milliards d’euros d’actifs publics. Sur la liste : le groupe pétrolier Rosneft, la banque semi-publique Sberb
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